mercredi, mars 28, 2007

Alea jecta est... (2) Cette fois c'est vrai !


Non merci, pas de Boisclair dans ma cour...

C'est fait.

Les Québécois ont clairement signifié au PQ, et à son chef, que les discours ampoulés et les phrases creuses ne leur convenaient pas. J'avais prévu en 2005 que le PQ finirait troisième lors de la prochaine élection.

Je suis assez fier que ma prédiction se soit réalisée.

Ce billet sera le dernier que je publierai dans ce carnet. Ça ne me tente pas de me lancer dans de longues analyses de la défaite péquiste. Ils ont vachement mérité ce qui leur arrive, tout simplement.

Ceci étant, pour ceux qui arriveraient ici pour la première fois, sachez que je sévis presque régulièrement dans ce carnet...

Alea jecta est

mercredi, mars 14, 2007

Le temps d'un gros mensonge...

Au début de la campagne en cours, Boisclair a accusé Charest d'être un menteur. Pourtant, menteur, Boisclair l'aura été lors de l'émission TLMP lorsqu'il a affirmé qu'il avait été piégé par les Justiciers masqués...

« Le reportage dévastateur de Jean-René Dufort a révélé que l'attaché de presse d'André Boisclair, Joël Simard Ménard, avait vu le reportage terminé, l'avait trouvé drôle et en avait autorisé la diffusion. Et que M. Boisclair avait totalement collaboré au tournage. » (Source)

Le patron de Musimax a refusé que des images compromettantes pour le chef du PQ, prouvant que Boisclair savait ce qu'il faisait dans la parodie de Brokeback Mountain, soient diffusées à l'émission Infoman. C'est un peu dommage. J'ose douter que si ces images avaient été favorables, le patron aurait permis la diffusion.

Dans cette histoire, non seulement Boisclair a fait un fou de lui, mais il a joué la victime en mentant effrontément, devant près de deux millions de spectateurs. Ce n'est pas anodin. Ça nous en dit beaucoup sur le personnage.

P.S. Je n'ai pas assez de temps pour "nourrir" deux carnets en même temps. Pour ceux qui s'intéresseraient à ce que j'écris, je sévis plus souvent ici...

samedi, février 17, 2007

Essayons d'être logique...

Non mais.

Considérant qu'un des premiers gestes qu'a posé Boisclair après être devenu chef du PQ , a été de choisir Daniel Audet comme conseiller principal et qu'auparavant, ledit Daniel Audet était un quelconque administrateur à l'Institut économique de Montréal(IEDM), comment on fait pour croire aveuglément ?

«Les deux (ADQ et PLQ) sont en train de rivaliser pour la droite. Ça nous laisse le champ libre. Nous sommes le seul parti à nous présenter de façon claire avec une vision renouvelée d'une social-démocratie qui va rassembler les progressistes» (Boisclair)

Bon, ok. On fait quoi avec la loi 142 André ?Ah oui, c'est vrai. Faut se rappeler. T'as pas comme mission de contenter tous les fédérés...

Il faut se méfier je pense, de cette vision, renouvelée au besoin du jour, de la social-démocratie à la sauce André Boisclair. Tant que Daniel Audet restera son conseiller principal, je me rappellerai toujours qu'il n'y a rien de plus à droite que l'IEDM. Ce qui fait que, la social-démocratie, on en reparlera quand le type sera au pouvoir... quelque chose qui n'arrivera jamais !

P.S. Michel David, pour qui j'ai un certain respect, a signé un excellent texte sur la douteuse relation avec la gauche et la droite selon Boisclair, le 7 février dernier. C'est ce que je pense, exprimé par un journaliste.

lundi, février 05, 2007

Unanimité... de chiffon ?

Oh qu'ils étaient beaux à voir, mais...

Je veux dire tous ces députés, présidents et autres arrivistes qui se sont "rallié" à leur chef mal-aimé la semaine passée. C'est bien évident qu'à quelques semaines des élections, tous ces gens devaient démontrer qu'ils sont solidaires, qu'ils forment une équipe unie.

Sauf que...

Le PQ a de la difficulté à faire atterrir où il veut les vedettes de l'équipe de rêve qui devait entourer André Boisclair à Québec.

Et c'est sans compter le prochain sondage qui, s'il est encore défavorable pour le PQ, pourrait foutre en l'air cette belle unanimité. Ceci étant, je continue de croire que le PQ finira troisième, derrière l'ADQ. Boisclair a apparemment fait un discours enflammé devant ses militants samedi, mais un discours reste un discours.

Maintenant, comment ces belles paroles se traduiront dans la réalité ? C'est ce qu'on verra dans les prochaines semaines.

À suivre dans ce carnet... si j'ai le temps, bien entendu. ;-)

P.S. Le triste sir, héros de ce carnet, a désormais sa place dans le "panthéon" de Google bombing. C'est Lawrence qui me l'a signalé. Héhé... Quand vous faites une recherche dans Google avec les mots "André Pasclair" le premier résultat vous donne la biographie du personnage. :-)

dimanche, janvier 28, 2007

Une semaine à oublier...

Ça ne fait que commencer !

On pourra dire que plusieurs "tuiles" sont tombés sur la tête de Boisclair. Il s'est mis à dos les syndicats, les militants péquistes commencent à se poser de sérieuses questions et surtout, les candidats ne se bousculent pas au portillon.

Un rigolo, organisateur péquiste de son état, a dit quelque chose en fin de semaine qui ressemble un peu à ceci; le recrutement est difficile, non pas à cause de Boisclair, mais parce que le travail de député est très exigeant.

Hahaha... elle est bien bonne !

Michel David a signé un excellent texte dans Le Devoir samedi, accessible par le biais de Vigile, où il explique que l'hémorragie ne fait que commencer. Autrement dit, tous ces prospects qui se désistent ne donneront pas le goût à d'éventuels candidats intéressants de se lancer en politique sous la bannière péquiste, avec Boisclair comme chef.

La déconfiture péquiste a véritablement commencé le 15 novembre 2005. Ce jour-là, la majorité des militants péquistes étaient convaincus que Boisclair les amènerait vers la terre promise. Le réveil sera brutal. Pour paraphraser un ex-politicien, Camil Samson, on pourrait dire que Landry a amené le PQ au bord du goufre et grâce à Boisclair, le PQ fera un pas en avant.

Y'a pas à dire, c'est fascinant à suivre la politique québécoise !

vendredi, janvier 26, 2007

Tout va très bien madame la marquise...

Le voyage en France semble se dérouler à merveille pour notre "ami" André.

Sauf qu'ici, ça gronde. Deux fois la une de La Presse, juste cette semaine, et pas positivement. Aujourd'hui, le sujet a tourné en boucle toute la journée sur LCN. L'information c'est de la publicité. Que ce soit positif ou négatif, ça produit un effet certain.

Tout ça pour dire qu'André lui, il n'en voit pas de problèmes...

« Quant à ce qui fait la manchette d'un journal montréalais aujourd'hui sur le fait que la gauche du parti serait déçue de lui, il rappelle qu'il y a à peine un an, il a été élu avec plus de 50 pour cent des membres du parti l'appuyant dès le premier tour, ce qui veut dire qu'il s'en tient aux lignes sur lesquelles il s'est fait élire et qu'il n'a aucun reproche à se faire à ses yeux. » (Source)

C'est sûr qu'il ne peut pas dire que ça va mal pour lui dans son parti. Sauf que c'est vrai que Boisclair soulève de plus en plus de grogne chez les militants péquistes. Je disais au début de la semaine que la job de bras médiatique venait de commencer.

La Presse
a très bien fait ça avec un texte à la une lundi, et un autre vendredi. C'est fini les... Boisclair a le vent dans les voiles... ou Boisclair éclipse ses adversaires. Dorénavant ce sera plutôt le supplice de la goutte d'eau !

:-)

mercredi, janvier 24, 2007

Le nerf de la guerre...

Le PQ ne s'en vantera pas, mais ce serait simplement logique.

Chez les souverainistes, on murmure aussi que le PQ connaît d’inquiétants problèmes de financement depuis l’élection d’André Boisclair. Mais ça, c’est une autre histoire...

C'est Vincent Marissal qui écrit ça dans sa chronique de ce matin. Ça vaut ce que ça vaut, y'a pas de source pour confirmer, mais...

lundi, janvier 22, 2007

La tendance semble se maintenir...

Boisclair fait la première page de La Presse aujourd'hui et cette fois ce n'est pas un sondage favorable. J'ai l'impression que la "job de bras" vient de commencer...

Boisclair inquiète ses troupes

C'est que, quand ça fait la première page, ça se retrouve dans toutes les revues de presse. Alors tous ceux qui ont écouté les nouvelles à la télé ce matin sauront que Boisclair inquiète ses troupes.

Est-ce que tout ce qui est écrit dans le texte est vrai ? Je vous laisse juger...

P.S. Même si je n'écris pas souvent dans ce carnet, j'essaie de lire tout ce qui s'écrit au sujet de Boisclair. Tout ne mérite pas d'être commenté, mais mon petit doigt me dit que ça ne sent pas bon pour lui et le PQ. J'ai vraiment hâte que Jean Charest déclenche les élections...

samedi, janvier 06, 2007

Que de questions...

S'il y a une déclaration à retenir de ce qu'a raconté Boisclair en 2006, c'est celle-çi...

« Il faut soulager le capital, il faut que le Québec devienne l’endroit au monde où le capital est le mieux accueilli possible, créant de l’emploi et donnant de la richesse aux gens. »

D'où une question fondamentale, comment on fait pour que le capital soit le mieux accueilli possible, tout en promettant un référendum qui "instabiliserait" la situation économique de la province ?

On attend, et entend déja, la réponse classique: Un trou dans le budget reporte le référendum aux calendes grecques !

Ceci étant, tout le monde s'accorde pour dire qu'il y aura élection provinciale cette année. Je prévois une déconfiture du PQ, peut-être même derrière l'ADQ.

Autant assumer, jusqu'à la fin... de Boisclair !

jeudi, novembre 30, 2006

Le sketch...

Un lecteur me demande mon avis sur la tentative humoristique de Boisclair.

Ma première impression est que l'humour devrait être réservé aux humoristes, mais mon opinion n'est pas coulée dans le ciment car je n'ai pas vu le sketch au complet.

Boisclair dit dans son passage que le Québec n'embarque pas la-dedans. C'est dans quoi qu'il n'embarque pas ? Je pense que pour avoir la réponse à cette question, il faut voir ce sketch et après, on pourra mieux juger.

On sait que c'est pour soigner leur image que les politiciens se prêtent souvent à cet exercice. Et avec ça, j'ai de la misère. C'est sur leur image de politicien qu'ils devraient focusser, à mon avis.

Il semblerait que Boisclair regrette. Ça c'est pas fort. N'avait-il pas vu le scénario avant de s'embarquer dans ce "projet" ? S'il a accepté sans savoir vraiment de quoi il s'agissait, il démontre un manque de jugement certain.

Je n'ai pas suivi l'affaire à la télé, seulement sur le net. Je sais que les médias en ont beaucoup parlé. Était-ce vraiment nécessaire ? Je ne le pense pas.

Ceci étant, je ne publie pas souvent dans ce carnet parce que Boisclair ne m'inspire rien. Je ne veux pas écrire juste pour m'acharner. Cependant, je lis à peu près tout ce qui se dit sur le "sujet". Et je ne pense pas, contrairement à lui, que la motion vide d'une nation dans un Canada uni soit un progrès.

samedi, novembre 11, 2006

On parlait d'une équipe de rêve; il ne s'agissait bien que d'un rêve en effet

Merci M. Desgagne...

***

Le Nouvelliste (Trois-Rivières)
Opinions, jeudi 9 novembre 2006, p. 11
Le PQ s'est planté

Il aurait été bien que le Parti québécois (Trois-Rivières) reconnaisse que la récente soirée d'investiture pour le choix de son candidat, parmi les deux aspirants en lice, n'ait pas été une réussite. Un peu plus de 200 personnes ont voté sur quelque 1200 membres; vraiment pas fort! Surtout au moment où André Boisclair annonçait une équipe de rêve aux prochaines élections Préparant cette assemblée avec discrétion dans une urgence injustifiable, on peut dire que le PQ s'est planté un doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Malgré les jolies explications fournies.

Je ne suis pas un habitué des assemblées d'investiture, mais je me rappelle avoir assisté à certaines dans le comté de Mercier, où mon défunt frère, Gérald Godin, se présentait sous la bannière du PQ. Même si sa candidature était la seule soumise, ma mère et moi avions peine à nous trouver des places. Chaque fois, des amis du candidat, comme Jean Garon, venaient galvaniser les troupes et la soirée virait en une véritable fête populaire.

Je précise que je ne suis membre d'aucune formation politique et que je ne vise aucun poste politique; je ne suis même pas adhérent à l'Opus Deï! Par contre, soyons francs avec le lecteur, j'avoue être indépendantiste, parmi les purs et durs.

Comment se fait-il que les deux candidats, qui auraient pu recruter et qui disposaient également de la liste des 1200 membres, n'ont pas pu attirer plus de monde? Comment se fait-il que la direction régionale ne se soit pas assurée d'une très forte participation à cette importante activité?

Pour Guy Daigle, ne pas aller chercher 50 votes, lui qui se présentait comme un homme de terrain, et qui se serait pointé à cette course télécommandée par le maire, c'est certes un échec. Il semble que l'aura du maire rayonne insuffisamment pour qu'en tirent bénéfice même ses plus proches béni-oui-oui.

Un point qui me glace aussi, c'est que tant dans la déclaration initiale du candidat élu que dans la lettre d'opinion du vice-président régional, ce n'est surtout pas le traitement des personnes âgées, ni l'avenir des jeunes, ni le projet d'indépendance du Québec qui prédominent, mais l'intention d'agir "en collaboration avec le maire" Le PQ veut souffler avec le vent.

C'est sans doute ce beau "programme" qui a poussé la députée Noëlla Champagne, la tête appuyée sur l'épaule d'André Boisclair, à reprocher en choeur au député Gabias de s'être mêlé d'affaires municipales, lorsque celui-ci a proposé une solution à l'impasse du Boisé des Plateaux. Pendant que M. Gabias encourageait la défense autant de notre environnement que de la démocratie municipale, le PQ, pourtant solllicité de près à nous venir en aide d'une quelconque manière, se contentait de se récurer les ongles en sifflotant, les yeux perdus dans un trip lunaire.

Or, le raisonnement péquiste de l'ingérence politique est insensé! Ce serait comme accuser le député du comté où est situé le Collège Dawson d'ingérence en politique fédérale, si celui-ci s'opposait publiquement à l'abolition du registre des armes à feu. Devrions-nous par exemple exiger le silence d'un maire qui serait informé de mauvais traitements infligés à des personnes âgées vivant dans des résidences établies dans sa municipalité, du fait que les soins de santé sont de juridiction "provinciale"? Tout citoyen responsable, quelle que soit sa fonction, a toujours le droit, je dirais le devoir et même l'obligation de se prononcer sur les questions qui nous interpellent. Quitte à froisser certaines personnes appréciées par ailleurs.

On parlait d'une équipe de rêve; il ne s'agissait bien que d'un rêve en effet

Guy Godin

Trois-Rivières

vendredi, octobre 20, 2006

Oui mais...

« Le gouvernement Charest manque de courage en refusant de s'occuper de la restructuration dans l'industrie forestière avec son plan d'aide annoncé vendredi, critique le chef de l'opposition officielle, André Boiclair. »

Tu ferais quoi toi André ? Ah oui, un sommet. C'est donc que tu ne sais pas quoi faire toi-même. T'as pas d'idées, pas de solutions à proposer...

C'est assez risible de te voir reprocher à Charest ta propre nullité !

P.S. Les commentaires sont maintenant filtrés. Quand j'ai commencé ce carnet, les commentaires n'étaient pas autorisés. Parce que j'ai un peu d'expérience avec les carnets, je savais que des anonymes en profiteraient pour écrire n'importe quoi. C'est arrivé dans le dernier billet que j'ai publié et comme j'ai la mèche très courte, il y aura dorénavant modération des commentaires.

C'est pas vrai qu'un trou de cul anonyme va venir "scrapper" des heures de travail. Z'êtes pas content ? Ouvrez-vous un blogue -Non merci, pas de Vandal sur le net !- et déblatérez tout ce que vous voulez. Partez n'importe quels ragots(1), comme le crétin (qui fait semblant de me connaître) l'a fait dans le dernier billet, je m'en tape. Mais ici, c'est chez-nous. C'est dommage que j'aie besoin de le rappeler.

C'est vrai que les propos écrits ici ne plaisent pas à tout le monde. Je comprend ça. Sauf que je n'accepte pas que quelqu'un n'ayant pas d'arguments, utilise les insultes et les mensonges pour faire valoir son non-point de vue.

1- « En fait, j'utilise l'anonymat comme tu l'as fait lorsque tu t'attaquais à Bernard Landry. Ça démontre quel genre de personnage tu es. »

« Je le savais, je te connais et je trouve que tu as la peau sensible mon cher Guy. C'est d'ailleurs comme ça que je t'appelles quand nous nous rencontrons. »

lundi, octobre 16, 2006

Crise forestière et capital politique

Boisclair est parti en tournée dans les régions... visiblement pour se faire du capital politique. Parce qu'au sujet de la crise forestière, il n'a rien de plus consistant à proposer que ceci...

Afin que les mises à pied actuelles n'occultent pas le fond du problème, M. Boisclair croit qu'il y aurait lieu d'organiser un sommet forestier.

Un sommet forestier ???

Autrement dit, Boisclair n'a aucune solution à proposer. Parce que de proposer un sommet, n'importe quel "opportuniste" est capable de faire cela. Si Boisclair pense se faire des amis avec cette solution simpliste, c'est qu'il ne connait pas l'intelligence des citoyens qu'il veut représenter.

Les comités et les sommets, Boisclair semble n'avoir que ça à proposer. En fouillant dans les textes que je n'ai pas publié, j'ai retrouvé une autre promesse du même genre...
« Si je suis un jour premier ministre du Québec, je présiderai personnellement un comité de relance sur la Gaspésie, je vais me mettre les deux mains dedans. »

Ceux qui veulent nous représenter sont trop souvent complètement déconnectés de la réalité, et Boisclair en est un parfait exemple. Des comités et des sommets, ce n'est rien d'autre que du gaspillage de temps et d'argent. Il y en a des solutions. Mais elles ne se trouveront pas assis derrière un bureau. C'est sur le terrain, avec les gens directement impliqués, qu'il faut discuter.

Les gens ne sont pas dupes M. Boisclair. Votre verbiage et vos promesses seraient peut-être utiles dans un champ d'éoliennes. Mais le vent ici, c'est la dernière des solutions.

mardi, octobre 10, 2006

Un diner qui fait jaser...

Je l'ai déja écris, c'est quand Boisclair ouvre la bouche pour autre chose que de montrer ses dents que ça se gâte...

À vrai dire, tout au long de ce curieux repas radiodiffusé auquel vous nous avez conviés, je n'ai rien vu d'autre qu'un triste plat de «néo-péquisme» servi à la sauce people, un fast-food d'idées aux relents de déjà entendu.

C'est dans cette même émission que Boisclair a déclaré que le Québec devait devenir un paradis pour le capital... ou quelque chose comme ça. Je ne peux endosser complètement l'opinion cité plus haut puisque je n'ai pas écouté l'émission.

Mais je ne m'attend à rien de plus de quelqu'un qui recrute ses conseillers à l'IEDM !

dimanche, octobre 08, 2006

Drelin, drelin !