Mario Dumont premier ministre ? Y'a rien là !
Le dangereux fumiste fait le tour des régions présentement. Et ce qui est fascinant, c'est que son message vide apparait très clairement, partout où il passe...
Cinq questions à André Boisclair
Denis Courchesne
CANDIAC - De passage à Candiac dans le cadre de la course à la chefferie du Parti québécois, André Boisclair a répondu aux questions du Journal.
Le Reflet : Les candidats sont respectueux du programme du PQ. En ce sens, peut-on parler d'une course à l'image et à la popularité plus que d'une course aux idées?
André Boisclair : Tous les candidats n'affirment pas leur fidélité au programme. Certains comme Louis Bernard ont des stratégies différentes de la mienne. Ils devront toutefois tenir un congrès spécial advenant leur élection. Je fais la campagne pour montrer que je suis le meilleur avocat et défenseur du Parti québécois. Je veux prouver que j'ai une organisation forte en amenant de nouveaux membres.
LR : Considérez-vous avoir bien géré la crise qui vient de vous toucher à propos de la révélation sur la cocaïne?
A.B. : C'est une épreuve qui me permet de sortir avec un lien de confiance. Les Québécois ont apprécié mon honnêteté. Lors de mes présences publiques, les salles étaient pleines à craquer et l'accueil était chaleureux. Mon équipe en sort plus soudée que jamais.
LR : La souveraineté semble une fin en soi. Que serait le Québec au lendemain de son indépendance?
A.B. : La démocratie va être la base de nos actions. Mario Dumont et Françoise David pourraient même devenir chef d'un Québec souverain. Au niveau des institutions démocratiques, une constitution écrite par des gens de tous horizons serait présentée aux Québécois. Au lendemain de la souveraineté, c'est la démocratie qui primerait.
LR : Comment projetez-vous votre rôle de chef au PQ?
A.B. : Je propose qui je suis. Je désire accéder rapidement à la souveraineté. Je fais appel à l'intelligence des gens. Le plus grand défi, c'est la mobilisation. Je ne veux pas que les membres me suivent, je veux qu'ils marchent avec moi. Je serai une figure forte, mais en bout de course, la souveraineté prévaut.
LR : Vous faites une proposition dans le domaine de l'éducation, quelle est-elle?
A.B. : J'ai évoqué la possibilité d'engager un débat sur la gratuité scolaire. Je voudrais créer un nouveau pacte qui permettrait d'abolir les frais scolaires. Pour ce faire, il faut étudier les coûts et bénéfices pour l'État et ouvrir les discussions avec les étudiants. À partir de là, mille et une solutions sont envisageables.
Le Reflet
Cinq questions. Beaucoup de promesses, beaucoup de vide... beaucoup de dangereux fumiste !
Guy Vandal
Cinq questions à André Boisclair
Denis Courchesne
CANDIAC - De passage à Candiac dans le cadre de la course à la chefferie du Parti québécois, André Boisclair a répondu aux questions du Journal.
Le Reflet : Les candidats sont respectueux du programme du PQ. En ce sens, peut-on parler d'une course à l'image et à la popularité plus que d'une course aux idées?
André Boisclair : Tous les candidats n'affirment pas leur fidélité au programme. Certains comme Louis Bernard ont des stratégies différentes de la mienne. Ils devront toutefois tenir un congrès spécial advenant leur élection. Je fais la campagne pour montrer que je suis le meilleur avocat et défenseur du Parti québécois. Je veux prouver que j'ai une organisation forte en amenant de nouveaux membres.
LR : Considérez-vous avoir bien géré la crise qui vient de vous toucher à propos de la révélation sur la cocaïne?
A.B. : C'est une épreuve qui me permet de sortir avec un lien de confiance. Les Québécois ont apprécié mon honnêteté. Lors de mes présences publiques, les salles étaient pleines à craquer et l'accueil était chaleureux. Mon équipe en sort plus soudée que jamais.
LR : La souveraineté semble une fin en soi. Que serait le Québec au lendemain de son indépendance?
A.B. : La démocratie va être la base de nos actions. Mario Dumont et Françoise David pourraient même devenir chef d'un Québec souverain. Au niveau des institutions démocratiques, une constitution écrite par des gens de tous horizons serait présentée aux Québécois. Au lendemain de la souveraineté, c'est la démocratie qui primerait.
LR : Comment projetez-vous votre rôle de chef au PQ?
A.B. : Je propose qui je suis. Je désire accéder rapidement à la souveraineté. Je fais appel à l'intelligence des gens. Le plus grand défi, c'est la mobilisation. Je ne veux pas que les membres me suivent, je veux qu'ils marchent avec moi. Je serai une figure forte, mais en bout de course, la souveraineté prévaut.
LR : Vous faites une proposition dans le domaine de l'éducation, quelle est-elle?
A.B. : J'ai évoqué la possibilité d'engager un débat sur la gratuité scolaire. Je voudrais créer un nouveau pacte qui permettrait d'abolir les frais scolaires. Pour ce faire, il faut étudier les coûts et bénéfices pour l'État et ouvrir les discussions avec les étudiants. À partir de là, mille et une solutions sont envisageables.
Le Reflet
Cinq questions. Beaucoup de promesses, beaucoup de vide... beaucoup de dangereux fumiste !
Guy Vandal
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