Un journaliste à genoux devant les sondages !
On trouve de tout dans Le Soleil, propriété de Gesca...
Simon Boivin
La semaine politique
Trop de chefs gâte la sauce
Sous le titre en gras... Au fond, l'écart entre André Boisclair et les autres aspirants de la course est peut-être ce qui peut arriver de meilleur au PQ pour la suite des choses.
Pas tant parce qu'il s'agit de M. Boisclair, mais parce que l'avance est telle qu'elle décourage certaines attaques qui peuvent jaillir d'un coude à coude musclé. Et dans l'optique de l'après-course, moins il y aura de pots cassés, moins il y aura besoin de colle.
À part Ghislain Lebel, personne ne concède la victoire. Trop de militants sont à pied d'œuvre sur le terrain pour que leur candidat décide de baisser pavillon sans livrer combat. Mais « tout le monde voit les sondages », souligne un député péquiste impliqué dans la course.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil.
Je n'ai pas lu le reste de la chronique, mais le début nous annonce assez clairement ce qu'on va retrouver. Pourquoi alors une course à la chefferie ? On n'est qu'au début du texte et le journaliste cite déja un député péquiste "favorable" à son idée, ça part "bien". On voit les sondages qu'il dit. Ça part mal.
Belle course s'il faut se rallier à une coquille vide, pour que ça coûte moins cher de colle, parce qu'il mène dans des sondages manipulés. Le journaliste ne vit vraiment pas au Québec s'il pense que les attaques de l'intérieur contre Boisclair vont cesser s'il est élu.
Ce sera soit la guerre, ou bien tous les opposants déchireront leurs cartes le 15 novembre, en signe de protestation.
Guy Vandal
Simon Boivin
La semaine politique
Trop de chefs gâte la sauce
Sous le titre en gras... Au fond, l'écart entre André Boisclair et les autres aspirants de la course est peut-être ce qui peut arriver de meilleur au PQ pour la suite des choses.
Pas tant parce qu'il s'agit de M. Boisclair, mais parce que l'avance est telle qu'elle décourage certaines attaques qui peuvent jaillir d'un coude à coude musclé. Et dans l'optique de l'après-course, moins il y aura de pots cassés, moins il y aura besoin de colle.
À part Ghislain Lebel, personne ne concède la victoire. Trop de militants sont à pied d'œuvre sur le terrain pour que leur candidat décide de baisser pavillon sans livrer combat. Mais « tout le monde voit les sondages », souligne un député péquiste impliqué dans la course.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil.
Je n'ai pas lu le reste de la chronique, mais le début nous annonce assez clairement ce qu'on va retrouver. Pourquoi alors une course à la chefferie ? On n'est qu'au début du texte et le journaliste cite déja un député péquiste "favorable" à son idée, ça part "bien". On voit les sondages qu'il dit. Ça part mal.
Belle course s'il faut se rallier à une coquille vide, pour que ça coûte moins cher de colle, parce qu'il mène dans des sondages manipulés. Le journaliste ne vit vraiment pas au Québec s'il pense que les attaques de l'intérieur contre Boisclair vont cesser s'il est élu.
Ce sera soit la guerre, ou bien tous les opposants déchireront leurs cartes le 15 novembre, en signe de protestation.
Guy Vandal
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