Pourquoi Radio-Canada joue à cache-cache avec cette nouvelle ?
M. Durocher, vous et votre femme pouvez dormir sur vos deux oreilles, vous n'êtes pas cinglés.
Je ne sais pas si Branchez-Vous a tout rapporté, mais une chose est sûre, Duceppe s'est prononcé. Et si la nouvelle parait timidement dans les médias jusqu'à maintenant, ce sera peut-être grâce à vous et ce blogue.
Il est présentement 19:13 pm et cette nouvelle, triée par date dans Google Actualité, ne semble pas avoir été publiée depuis plus de 1 heure... alors qu'elle a été publiée ici à 15:08 pm. Hier quand j'ai reçu votre courriel, j'ai douté. J'ai fait une recherche Google Actualité et évidemment, je n'ai rien vu.
Et aujourd'hui, les explications que vous m'avez donné m'ont convaincu. Dorénavant je ne douterai plus de vos courriels, promis !
Gilles Duceppe tente d'atténuer ses propos sur André Boisclair
PAR MARTIN OUELLET
QUEBEC (PC) - Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, s'est retrouvé dans ses petits souliers, lundi, après avoir invité André Boisclair, la veille, à lever entièrement le voile sur sa consommation de cocaïne à l'époque où il était ministre.
"On ne peut pas, en politique, exclure des choses comme ça. On doit faire face à la musique. Dès lors qu'est posé un geste à connotation criminelle - on ne peut pas acheter ça au dépanneur du coin ! - , cela devient d'intérêt public", avait laissé tomber M. Duceppe, dimanche à Montréal, dans une courte entrevue accordée à la radio de Radio-Canada dans le cadre d'une marche populaire contre le sida.
Mais le lendemain à Ottawa, M. Duceppe s'est empressé de remettre le couvercle sur la marmite, se défendant d'avoir exigé que le candidat à la direction du Parti québécois révèle publiquement tous les détails de son passé aux journalistes.
M. Boisclair a déjà répondu aux questions pertinentes entourant sa consommation passée de poudre blanche, a-t-il fait valoir aux reporters après la période de questions à la Chambre des communes.
"On m'a demandé si c'était du domaine privé ou public, j'ai dit public. On m'a demandé si M. Boisclair devait répondre aux questions, j'ai dis oui. M. Boisclair a répondu aux questions et moi ça me va", a-t-il dit.
Par conséquent, le leader bloquiste considère qu'il est temps de tourner la page sur cette affaire et de se pencher sur les vrais enjeux de la campagne à la direction.
"M. Boisclair n'est pas pour se mettre de la cendre sur la tête jusqu'à la fin de ses jours! Il est temps de passer à autre chose", a-t-il dit.
Pour l'heure, bien peu de souverainistes osent publiquement remettre en question les explications sibyllines de M. Boisclair concernant sa consommation passée de cocaïne.
En outre, le successeur potentiel de Bernard Landry et aspirant premier ministre du Québec refuse de préciser la durée de sa consommation de drogue dure et révéler sa source d'approvisionnement.
Voulant préserver la vitrine d'unité du parti, la plupart des députés du PQ consultés ces derniers jours ont jugé que M. Boisclair avait fait le tour de la question en se limitant à admettre avoir "consommé" pendant une période indéterminée, au moment où il était ministre (quelque part entre 1996 et 2003).
Parmi les rares personnalités souverainistes influentes à avoir publiquement refusé de tourner la page sur les frasques d'André Boisclair figure Yves Michaud.
L'ancien député devenu activiste a récemment reproché à M. Boisclair de vouloir minimiser la portée de son geste illégal et l'a invité à entreprendre une réflexion sur son avenir.
Je ne sais pas si Branchez-Vous a tout rapporté, mais une chose est sûre, Duceppe s'est prononcé. Et si la nouvelle parait timidement dans les médias jusqu'à maintenant, ce sera peut-être grâce à vous et ce blogue.
Il est présentement 19:13 pm et cette nouvelle, triée par date dans Google Actualité, ne semble pas avoir été publiée depuis plus de 1 heure... alors qu'elle a été publiée ici à 15:08 pm. Hier quand j'ai reçu votre courriel, j'ai douté. J'ai fait une recherche Google Actualité et évidemment, je n'ai rien vu.
Et aujourd'hui, les explications que vous m'avez donné m'ont convaincu. Dorénavant je ne douterai plus de vos courriels, promis !
Gilles Duceppe tente d'atténuer ses propos sur André Boisclair
PAR MARTIN OUELLET
QUEBEC (PC) - Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, s'est retrouvé dans ses petits souliers, lundi, après avoir invité André Boisclair, la veille, à lever entièrement le voile sur sa consommation de cocaïne à l'époque où il était ministre.
"On ne peut pas, en politique, exclure des choses comme ça. On doit faire face à la musique. Dès lors qu'est posé un geste à connotation criminelle - on ne peut pas acheter ça au dépanneur du coin ! - , cela devient d'intérêt public", avait laissé tomber M. Duceppe, dimanche à Montréal, dans une courte entrevue accordée à la radio de Radio-Canada dans le cadre d'une marche populaire contre le sida.
Mais le lendemain à Ottawa, M. Duceppe s'est empressé de remettre le couvercle sur la marmite, se défendant d'avoir exigé que le candidat à la direction du Parti québécois révèle publiquement tous les détails de son passé aux journalistes.
M. Boisclair a déjà répondu aux questions pertinentes entourant sa consommation passée de poudre blanche, a-t-il fait valoir aux reporters après la période de questions à la Chambre des communes.
"On m'a demandé si c'était du domaine privé ou public, j'ai dit public. On m'a demandé si M. Boisclair devait répondre aux questions, j'ai dis oui. M. Boisclair a répondu aux questions et moi ça me va", a-t-il dit.
Par conséquent, le leader bloquiste considère qu'il est temps de tourner la page sur cette affaire et de se pencher sur les vrais enjeux de la campagne à la direction.
"M. Boisclair n'est pas pour se mettre de la cendre sur la tête jusqu'à la fin de ses jours! Il est temps de passer à autre chose", a-t-il dit.
Pour l'heure, bien peu de souverainistes osent publiquement remettre en question les explications sibyllines de M. Boisclair concernant sa consommation passée de cocaïne.
En outre, le successeur potentiel de Bernard Landry et aspirant premier ministre du Québec refuse de préciser la durée de sa consommation de drogue dure et révéler sa source d'approvisionnement.
Voulant préserver la vitrine d'unité du parti, la plupart des députés du PQ consultés ces derniers jours ont jugé que M. Boisclair avait fait le tour de la question en se limitant à admettre avoir "consommé" pendant une période indéterminée, au moment où il était ministre (quelque part entre 1996 et 2003).
Parmi les rares personnalités souverainistes influentes à avoir publiquement refusé de tourner la page sur les frasques d'André Boisclair figure Yves Michaud.
L'ancien député devenu activiste a récemment reproché à M. Boisclair de vouloir minimiser la portée de son geste illégal et l'a invité à entreprendre une réflexion sur son avenir.
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