À suivre de près !
Il était prévisible que ce blogue connaîtrait un ralentissement. Boisclair n'aime pas assez les médias pour les convoquer à tous les jours...
Il y a 76 % des membres du PQ qui ont voté le 15 novembre. Ça veut dire près de 35 000 membres qui n'ont pas voté. C'est assez surprenant, considérant que les voteurs n'avaient pas à se déplacer. Ce serait intéressant que les résultats détaillés soient publiés sur le site du PQ. On pourrait essayer de comprendre qu'est-ce qui s'est passé...
En attendant, j'ai deux textes à vous proposer ce matin, gracieuseté de Vigile. Le premier a été publié le 18 novembre. L'auteur donne son avis sur la course que les dirigeants péquistes ont imposé à leurs membres...
« À les observer lors des combats de «coq», excusez moi, lors des débats organisés par le PQ, dirigés d'une main dictatoriale par Mme Marcoux, on se serait cru à un cours d'art oratoire organisé par une école, peut-être une école secondaire, mais certainement pas de niveau universitaire. (...) Lorsqu'au début des années 60 , avec des milliers d'autres, je me suis joint au RIN, puis au PQ, on n’aurait jamais osé se présenter, même au micro, encore moins à un poste de dirigeant, avec si peu de bagages intellectuels et sociaux. »
Le deuxième texte est un peu troublant. L'auteur fait référence à deux articles parus dans le Journal de Québec, que je n'ai pas lu. De plus, je ne connais pas le dossier. Si vous lecteurs, en savez plus que moi sur le sujet, exprimez-vous...
« Dites-moi que je rêve ! Ce cauchemar me devient insupportable. Il faut voir les choses telles qu’elles sont : dans la réalité des faits, l’opposition péquiste est en train de… défendre la souveraineté du fédéral sur les territoires indiens du Québec !!! »
Et toujours sur Vigile, Pierre Daviau lance un appel aux vrais indépendantistes...
C'est tout ce que j'ai à proposer pour le moment.
À venir... Un rejet appuie un vire-capot.
Guy Vandal
Qu'on se le dise !
Il y a 76 % des membres du PQ qui ont voté le 15 novembre. Ça veut dire près de 35 000 membres qui n'ont pas voté. C'est assez surprenant, considérant que les voteurs n'avaient pas à se déplacer. Ce serait intéressant que les résultats détaillés soient publiés sur le site du PQ. On pourrait essayer de comprendre qu'est-ce qui s'est passé...
En attendant, j'ai deux textes à vous proposer ce matin, gracieuseté de Vigile. Le premier a été publié le 18 novembre. L'auteur donne son avis sur la course que les dirigeants péquistes ont imposé à leurs membres...
« À les observer lors des combats de «coq», excusez moi, lors des débats organisés par le PQ, dirigés d'une main dictatoriale par Mme Marcoux, on se serait cru à un cours d'art oratoire organisé par une école, peut-être une école secondaire, mais certainement pas de niveau universitaire. (...) Lorsqu'au début des années 60 , avec des milliers d'autres, je me suis joint au RIN, puis au PQ, on n’aurait jamais osé se présenter, même au micro, encore moins à un poste de dirigeant, avec si peu de bagages intellectuels et sociaux. »
Le deuxième texte est un peu troublant. L'auteur fait référence à deux articles parus dans le Journal de Québec, que je n'ai pas lu. De plus, je ne connais pas le dossier. Si vous lecteurs, en savez plus que moi sur le sujet, exprimez-vous...
« Dites-moi que je rêve ! Ce cauchemar me devient insupportable. Il faut voir les choses telles qu’elles sont : dans la réalité des faits, l’opposition péquiste est en train de… défendre la souveraineté du fédéral sur les territoires indiens du Québec !!! »
Et toujours sur Vigile, Pierre Daviau lance un appel aux vrais indépendantistes...
C'est tout ce que j'ai à proposer pour le moment.
À venir... Un rejet appuie un vire-capot.
Guy Vandal
Qu'on se le dise !
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