Une semaine à oublier...
Ça ne fait que commencer !
On pourra dire que plusieurs "tuiles" sont tombés sur la tête de Boisclair. Il s'est mis à dos les syndicats, les militants péquistes commencent à se poser de sérieuses questions et surtout, les candidats ne se bousculent pas au portillon.
Un rigolo, organisateur péquiste de son état, a dit quelque chose en fin de semaine qui ressemble un peu à ceci; le recrutement est difficile, non pas à cause de Boisclair, mais parce que le travail de député est très exigeant.
Hahaha... elle est bien bonne !
Michel David a signé un excellent texte dans Le Devoir samedi, accessible par le biais de Vigile, où il explique que l'hémorragie ne fait que commencer. Autrement dit, tous ces prospects qui se désistent ne donneront pas le goût à d'éventuels candidats intéressants de se lancer en politique sous la bannière péquiste, avec Boisclair comme chef.
La déconfiture péquiste a véritablement commencé le 15 novembre 2005. Ce jour-là, la majorité des militants péquistes étaient convaincus que Boisclair les amènerait vers la terre promise. Le réveil sera brutal. Pour paraphraser un ex-politicien, Camil Samson, on pourrait dire que Landry a amené le PQ au bord du goufre et grâce à Boisclair, le PQ fera un pas en avant.
Y'a pas à dire, c'est fascinant à suivre la politique québécoise !
On pourra dire que plusieurs "tuiles" sont tombés sur la tête de Boisclair. Il s'est mis à dos les syndicats, les militants péquistes commencent à se poser de sérieuses questions et surtout, les candidats ne se bousculent pas au portillon.
Un rigolo, organisateur péquiste de son état, a dit quelque chose en fin de semaine qui ressemble un peu à ceci; le recrutement est difficile, non pas à cause de Boisclair, mais parce que le travail de député est très exigeant.
Hahaha... elle est bien bonne !
Michel David a signé un excellent texte dans Le Devoir samedi, accessible par le biais de Vigile, où il explique que l'hémorragie ne fait que commencer. Autrement dit, tous ces prospects qui se désistent ne donneront pas le goût à d'éventuels candidats intéressants de se lancer en politique sous la bannière péquiste, avec Boisclair comme chef.
La déconfiture péquiste a véritablement commencé le 15 novembre 2005. Ce jour-là, la majorité des militants péquistes étaient convaincus que Boisclair les amènerait vers la terre promise. Le réveil sera brutal. Pour paraphraser un ex-politicien, Camil Samson, on pourrait dire que Landry a amené le PQ au bord du goufre et grâce à Boisclair, le PQ fera un pas en avant.
Y'a pas à dire, c'est fascinant à suivre la politique québécoise !